Dans l’épisode inédit de Familles nombreuses : la vie en XXL diffusé ce vendredi 6 septembre, Hanaa Elah s’est confiée sur les difficultés que traverse son couple pour avoir un autre enfant.
Depuis plusieurs mois, les fans de l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL peuvent suivre le quotidien de la famille Elah. Respectivement âgés de 30 et 31 ans, Hanaa et son mari Irshad sont parents de quatre enfants : Aylan, Keyden, et les jumeaux Eyna et Emyr. Un rêve devenu réalité pour Hanaa Elah, qui a été diagnostiquée stérile à l’âge de 23 ans en raison d’un syndrome des ovaires polykystiques et qui a longtemps eu peur de ne jamais devenir maman. Comme elle l’a expliqué à son arrivée dans le docu-réalité de TF1, la jeune femme a pu découvrir les joies de la maternité grâce à la PMA. Et elle vient justement d’entamer un nouveau protocole médical dans l’espoir de tomber enceinte d’un cinquième enfant.
Hanaa Elah (Familles nombreuses) évoque les difficultés que traverse son couple
Dans l’épisode inédit de Familles nombreuses : la vie en XXL diffusé ce vendredi 6 septembre, Hanaa Elah débute son traitement contre l’infertilité et réalise elle-même sa première injection d’hormones. Mais entamer un parcours PMA n’est jamais simple. “C’est compliqué pour le couple dans le sens où c’est très médicalisé”, explique Hanaa devant les caméras. “Quand on veut faire un bébé, c’est beaucoup d’amour, et là c’est beaucoup de programme, beaucoup de contrôle. En fait, on doit être réglo sur tout le programme. Pour nous, c’est comme ça, on s’y est fait. Mais c’est vrai que c’est difficile, on passe par des phases assez compliquées”, poursuit-elle.
Hanaa Elah (Familles nombreuses) soutenue par son mari Irshad
Hanaa Elah peut toutefois compter sur le soutien de son mari Irshad face à cette nouvelle bataille pour avoir un enfant. L’agent aéroportuaire n’a d’ailleurs pas hésité à retarder son départ au travail pour être présent lors de la première injection de son épouse. “Je suis hyper rassurée qu’Irshad soit là pour ma première injection, c’est vraiment le pilier sur lequel je vais pouvoir m’appuyer parce que c’est très dur de se piquer seule. J’ai peur des aiguilles, je n’aime pas les prises de sang, je déteste. Mais il faut le faire”, conclut la jeune maman, qui ne perd pas l’espoir d’agrandir un jour sa famille.