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L’amour est dans le pré : “Elles ne sont pas assez grosses”, Frédérique mal en point, aucune opération n’est possible

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Frédérique n’est pas au meilleur de sa forme. Le 6 juillet 2025, l’ancienne candidate de L’amour est dans le pré a révélé qu’elle était souffrante et a expliqué pour quelle raison.

C’est en 2012 que Frédérique a été révélée au grand public, dans L’amour est dans le pré saison 7. A l’époque, elle avait participé à l’émission dans le but de séduire Pierre. Et entre eux, cela a été une évidence. Tous deux se sont vite mis en couple et aujourd’hui, ils sont toujours ensemble. Ils ont même un fils prénommé Gabriel (12 ans). Mais ce n’est pas de sa famille que l’ancienne candidate de M6 a souhaité parler en story Instagram, le 6 juillet 2025.

Frédérique de L’amour est dans le pré souffre depuis des années

Depuis des années, Frédérique souffre de hernies discales à répétition. Un mal sur lequel elle s’est livrée en story. L’occasion de découvrir qu’une opération n’était pas envisageable. “Pour l’instant, j’ai fait des examens, depuis 2009 où j’ai eu les premiers problèmes. J’ai fait des IRM et malgré le fait que cela fasse mal et que ça se coince, les hernies discales ne sont pas assez grosses pour une opération. Et mes hernies discales ne sont pas non plus un problème vital pour lequel il faut forcément devoir passer sur la table d’opération“, a confié l’épouse de Pierre dans un premier temps.

Frédérique a ensuite avoué qu’elle en souffrait au quotidien. Elle tente toutefois de relativiser : “Mais c’est comme si quelque part, elles étaient là en gardiennes pour me rappeler les moments où je ne m’occupe pas assez de moi et où je suis trop fatiguée ou que j’ai une charge mentale trop importante. J’essaie d’accueillir à chaque fois la douleur non plus avec de la colère comme avant, mais plus avec une façon de me remettre au centre de mes préoccupations.”

L’épouse de Pierre livre ses astuces pour aller mieux

A force, Frédérique a trouvé les solutions pour se soulager. Et elle a donné ses astuces à sa communauté : “Je mets des ceintures chauffantes, je prends des anti-inflammatoires pendant trois jours et normalement, j’arrive à m’en sortir quand la crise n’est pas trop sévère.” Elle se met aussi rapidement au repos dès qu’elle sent des tiraillements et fait des étirements. “Maintenant, j’ai appris avec les années à arrêter, c’est-à-dire, je lâche ce que je fais et je vais m’allonger“, a-t-elle conclu.

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