L’aventure de Valentin dans L’amour est dans le pré n’a été comme aucune autre. Sa prétendante Flavie a appris qu’elle avait un cancer en plein tournage de l’émission et il a décidé l’accompagner dans son traitement. Il revient pour Télé-Loisirs sur cette période difficile.
Dans la 19e saison de L’amour est dans le pré, dont le bilan sera diffusé lundi 25 novembre, les téléspectateurs ont fait la connaissance de Valentin, éleveur normand de 26 ans. Au fil des épisodes, ils ont vu naître son histoire d’amour avec Flavie, une pétillante Bretonne de 22 ans qui a su faire la différence face Ilona, la deuxième prétendante plus effacée. Mais leur idylle a pris un tournant lorsque Flavie a appris qu’elle était atteinte d’un cancer, deux semaines seulement après avoir officialisé sa relation avec l’agriculteur.
Valentin (L’amour est dans le pré 2024) a accompagné Flavie pour sa première chimiothérapie
Valentin a choisi de rester aux côtés de sa prétendante et de l’accompagner dans la maladie. “Elle m’a dit ‘Si tu veux que ça s’arrête, je comprends'”. Mais d’office j’ai répondu non parce que des problèmes moi j’en ai eu, drames j’en ai passé, je me suis toujours relevé, plus ou moins facilement. Comme je dis souvent, on n’est plus à une casserole près”, a confié le Normand à Télé-Loisirs. Flavie commence sa chimiothérapie environ trois semaines après l’annonce de son cancer. “Je suis allé à la première chimio mais après, avec mon planning, ça ne collait pas. Puis, comme ça allait potentiellement assez bien, elle n’était pas affaiblie comme on peut le voir des fois, ça ne servait à rien que j’y aille. Elle faisait sa chimio et dans les deux-trois jours qui suivaient, elle redescendait à la maison”, nous explique le jeune agriculteur.
Valentin (L’amour est dans le pré 2024) se confie sur le cancer de Flavie: “Elle faisait ses convalescences à la maison”
Valentin, qui a perdu son père dans un accident de la route lorsqu’il avait 19 ans, s’est endurci à travers les épreuves, mais le traitement de Flavie, qui a eu neuf séances de chimiothérapie, ne l’a pas laissé indemne. “Ça pique au vif, ça commence directement fort. Elle faisait ses convalescences à la maison, on a passé beaucoup de temps cet été ensemble. Je ne sais pas si c’est un avantage, mais étant donné que des drames j’en ai eu, ça ne fait pas peur d’affronter ça en plus, on est déjà passé par du pire”, confie l’agriculteur. Il y a quelques semaines, la jeune femme indiquait avoir “très bien supporté le traitement” et que les médecins étaient “optimistes”.