La tribu de Emilie et Franck Fanich est l’une des plus appréciées des téléspectateurs de Familles Nombreuses. La communauté a pu s’apercevoir des mésaventures capillaires de l’une des enfants du couple, ce mardi 11 novembre.
Le clan des Fanich continue de divertir les fidèles de Familles nombreuses, la vie en XXL. S’ils ont récemment réintégré un programme qu’ils avaient un temps abandonné, Emilie et Franck continuent de partager leur quotidien animé sur les réseaux sociaux. Leurs neuf enfants leur en font voir de toutes les couleurs, et le couple ne s’ennuie pas une minute entre les pépins de santé des uns, les mésaventures à l’école des autres et les gros travaux entamés dans leur maison.
“Tu veux devenir coiffeuse ?”, Ava s’essaie aux coups de ciseaux, son papa pas convaincu
Ce mardi 11 novembre était un jour férié pour toute la tribu. Qui dit jour férié, dit pas d’école et donc activités à la maison sous le soleil. Emilie Fanich a profité de cette belle après-midi pour répondre aux interrogations de ses abonnés sur ses bambins. La surdité de Mjih était notamment au menu des questions, et la mère de famille a bon espoir que le handicap de son fils ne lui porte pas préjudice. En revanche, les parents étaient beaucoup plus alarmés par la nouvelle coupe de cheveux de leur fille, Ava. Celle-ci a en effet décidé de se donner elle-même quelques coups de ciseaux par-ci, par-là, ce qui a occasionné une frange très raccourcie. “Pourquoi t’as coupé des cheveux ? Ma pauvre Ava“, maugréait son papa dans une story Instagram. “Tu veux devenir coiffeuse ? Tu veux t’initier à la coiffure toute seule ? Tu veux faire un dégradé à Papa ?”, lui a demandé sans trop de conviction Franck. Après un refus poli de la tête, la fillette semblait décidée à prendre la tondeuse pour s’essayer à son nouveau talent.
“Je culpabilise”, Franck Fanich explique son détachement avec la scolarité de ses enfants
La veille, ce père de 38 ans avait confié à ses followers qu’il ne se rendait jamais aux rendez-vous scolaires pour ses enfants. La raison est simple et porte sur un traumatisme de sa jeunesse. “J’ai un problème avec ça, je n’y arrive pas, j’ai peur de manquer d’attention, j’ai peur de montrer au professeur que je ne suis peut-être pas super réceptif à ce qu’il va me dire parce que j’ai un problème avec l’école”, a-t-il souligné. Cette situation semble peser sur le moral du gouvernant d’un parc hôtelier qui “culpabilise de ne pas être un père assez présent pour leur scolarité”.