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“Il y en a plein qui ne comprennent pas” : Florie Galli (Familles nombreuses) s’explique sur cette différence notable dans l’évolution de ses triplés

Ce vendredi 13 septembre, Florie Gall, maman phare de Familles nombreuses : la vie en XXL, a pris le temps d’expliquer à ses abonnés sur Instagram cette différence notable que certains ont remarqué entre ses triplés.

Ils sont des milliers à la suivre depuis quatre ans. Florie Galli est l’une des participantes les plus emblématiques de Familles nombreuses : la vie en XXL sur TF1. Aujourd’hui éloignée du programme, l’ex-juriste partage son quotidien via son smartphone puisque c’est sur Instagram que les aficionados peuvent désormais voir l’évolution de ses cinq enfants. Récemment, un sixième bébé est venu compléter la fratrie. Cette dernière a fait sa rentrée la semaine passée et un détail à sauter aux yeux des 309 000 abonnés de la maman de 40 ans…

La mise au point de Florie Galli (Familles nombreuses) sur cette différence scolaire entre ses enfants du même age

“Il y en a plein qui ne comprennent pas pourquoi les filles n’ont pas d’uniforme et Maxime [en] a un”, constate Florie Galli dans sa story du vendredi 13 septembre. Cette différence notable questionne quand on sait que Lucie, Rose et Maxime sont des triplés. Le trio devrait donc avoir le même accoutrement pour se rendre à l’école. Mais la compagne de Bastien a expliqué aux personnes qui sont arrivées ces derniers mois sur son compte la différence de niveau scolaire qui sépare ses enfants : “Les filles ont redoublé, même si le terme ne me plaît pas du tout, on va dire qu’elles ont fait deux moyennes sections. Elles sont encore en maternelle, cette année, donc en grande section. Maxime, lui, est passé au CP et au CP vous avez obligatoirement un uniforme”.

Florie Galli (Familles nombreuses) dévoile l’objectif qu’elle espère voir ses filles atteindre cette année

Si les jumelles passeront dans la cour des grands l’an prochain, Florie Galli tire des plans sur la comète lorsqu’il s’agit du développement des petites sœurs d’Arthur, souvent en proie à des difficultés scolaires. “Si ça se trouve elles seront prêtes pour la lecture, si ça se trouve il y aura encore des petits soucis. De toute façon, j’ai rendez-vous au centre d’apprentissage cet après-midi pour faire le point sur les progrès de l’année dernière. Et voir un peu comment on va s’organiser cette année, si on maintient le même dispositif”, affirme de manière très lucide la mère qui essaye de faire de son mieux.

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