Malgré des progrès chez ses filles et un encadrement scolaire adapté, Florie Galli reste préoccupée par les difficultés de Lucie. Ce jeudi 21 novembre, la maman de cinq enfants s’est confiée sur les dispositifs mis en place pour l’aider.
Florie Galli, ancienne participante de l’émission Familles nombreuses : la vie en XXL, partage régulièrement des nouvelles de sa famille sur les réseaux sociaux. Entre une pyélonéphrite nécessitant une hospitalisation, un épisode d’étouffement causé par une toux rauque et une transition difficile de l’allaitement au biberon, la mère de famille a traversé des moments éprouvants avec son fils Martin. Si les soucis de santé de son petit dernier ont accaparé une grande partie de son énergie ces derniers mois, Florie Galli doit également composer avec les problèmes liés à la scolarité de ses jumelles, Rose et Lucie. Bien que les fillettes fassent des progrès, Florie exprime souvent ses inquiétudes face à leurs difficultés. Rose, fatiguée et sujette à des tics liés au stress, semble particulièrement angoissée par l’école, tandis que Lucie refuse parfois de travailler, ce qui a valu à Florie une convocation de l’école.
Florie Galli fait le bilan du premier trimestre des jumelles
Malgré ses efforts pour apaiser la situation, la maman de cinq enfants reste préoccupée par la scolarité et le bien-être de ses filles. Ce jeudi 21 novembre, Florie Galli a profité d’un moment d’accalmie à la maison pour faire une mise au point suite aux nombreux messages et conseils de ses abonnés Instagram : “Beaucoup sont allés voir pour les soucis de Lucie. Il faut que je vous raconte un peu… Les filles ont un dispositif spécifique à l’école. Elles ont l’enseignant inclusion, l’AVS et des groupes de travail au centre d’apprentissage. Cette année, je trouvais que c’était plutôt fluide et seule Lucie fera un peu d’orthophoniste, car elle a des petits soucis de prononciation”.
Florie Galli (Familles nombreuses) : “J’attends de voir s’il faut la faire tester”
La maman, confiante, pensait que ses filles allaient progresser durant leur année en grande section de maternelle, au vu de tous les dispositifs mis en place. “Au premier bilan avec l’école, on me dit : ‘Rose, OK, elle a fait d’énormes progrès et tout se passe bien et elle pourrait intégrer une classe de CP classique'”, indique Florie Galli. “Mais pour Lucie, ce n’est pas la même… On me dit qu’elle ne veut pas trop bosser, qu’elle n’arrive pas à calculer et qu’elle a des gros soucis au niveau de la motricité. Du coup, j’ai fait le nécessaire et j’attends de voir s’il faut la faire tester, si elle a un trouble quelconque, s’il y a une prise en charge spécifique”. Entre son emploi du temps chargé et le manque de sommeil, Florie avoue “traîner à faire des contenus” et mettre en place sa décoration de Noël. Un planning qui pourrait bien s’alourdir si Lucie doit consulter d’autres spécialistes…