Ce dimanche 8 septembre, Rofrane Bambara a décidé de s’emparer de ses réseaux sociaux afin de faire des confidences touchantes au sujet de son fils Kheïry. L’ancienne candidate de Familles nombreuses : la vie en XXL a évoqué le jour où son enfant a été diagnostiqué autiste.
C’est dans Familles nombreuses : la vie en XXL que Rofrane et Nasser Bambara ont accepté d’ouvrir les portes de leur quotidien ainsi que de leurs quadruplés. Très vite, leur combat pour soutenir leurs enfants atteints du spectre de l’autisme a touché les téléspectateurs. Bien qu’ils aient cessé leur participation, la tribu continue de donner de ses nouvelles à travers les réseaux sociaux. Ainsi, on a pu suivre leur déménagement ainsi que les progrès des bouts de chou. Récemment, Kheïry, Chemsy, Hajar et Noor ont fait leur rentrée en étant séparés. Un changement qui a beaucoup stressé leur maman notamment avec le récent pépin de santé de l’une de ses filles.
Rofrane Bambara (Familles nombreuses) se livre sur Kheïry
Les choses ont bien changé depuis les premiers épisodes de Familles nombreuses : la vie en XXL. Rofrane Bambara profite de son expérience pour briser le silence et casser les tabous autour des difficultés que rencontrent certains parents dans une situation similaire. Et pourtant, la mère de famille a elle aussi ressenti des craintes lorsqu’elle a découvert que l’un de ses enfants était atteint d’autisme. C’est ce qu’elle a raconté dans une émouvante publication postée ce dimanche 8 septembre sur Instagram. “Kheïry a été le premier de sa fratrie à être diagnostiqué, ce jour-là j’ai eu peur. Peur de l’avenir, peur pour lui, je me demandais si un jour je le verrais parler, lire ou simplement si j’entendrais sa petite voix”, a-t-elle avoué.
Rofrane Bambara (Familles nombreuses) soulagée pour son fils
Et finalement, même si cela a été difficile, Rofrane Bambara est fière que ses peurs se soient envolées grâce à l’évolution de ses quadruplés. “Aujourd’hui je me rends compte qu’on a tellement d’a priori sur l’autisme et moi la première. Pour moi, l’autisme c’était ne pas pouvoir vivre ‘normalement’. Certes, on ne guérit pas de l’autisme mais on vit avec, il faut simplement apprendre à appréhender la vie avec une vision différente”, a-t-elle avoué. Avant de conclure sur une note positive : “Le parcours est différent des autres enfants, mais l’arrivée est la même et ça c’est ok”. De quoi rassurer les abonnés dans la même situation !