Jeudi 21 novembre, lors des répétitions pour le prime, Charles s’est permis quelques libertés qui n’ont pas plu à Lucie Bernardoni.
Après une semaine particulièrement difficile, Charles a étonnamment remonté la pente. Sur le banc des nommés vendredi 15 novembre, le jeune homme occupe désormais dans le top 3 de cette semaine spéciale “anciens”. Jeudi 21 novembre, en dévoilant le haut du classement, Michael Goldman s’est attardé sur l’évaluation du Breton, qui, visiblement, a scotché l’ensemble des professeurs. “À la deuxième place : c’est Charles ! Vocalement, c’était parfaitement juste. En éval’, tu es tout le temps juste”, a relevé le directeur. Avant de poursuivre : “Mais je trouve que tu as vraiment passé un step dans l’expression scénique, dans l’interprétation. On t’a vu trembler à la fin. Marlène était super contente de ta prestation. On est vraiment fiers de toi, tu as vraiment bossé ! C’était vraiment bien.” Voilà de quoi rebooster l’académicien comme il se doit !
Lucie Bernardoni (Star Academy), agacée par les taquineries de Charles, le recadre
Charles fait partie des élèves les plus taquins, voire trop taquins, de la promotion. Seulement, à la Star Academy, il y a un temps pour jouer et un temps pour travailler. Et cette distinction, l’académicien a parfois du mal à la faire. C’est pourquoi, jeudi 21 novembre, lors des répétitions, Lucie Bernardoni n’a pas hésité à rappeler l’élève à l’ordre. Alors qu’elle expliquait le déroulé de la collégiale à Marguerite et Ebony, la répétitrice a recadré Charles qui s’amusait à la déstabiliser en jouant des accords au piano. “Ça suffit maintenant. On jouera plus tard, Charles ! […] On fera joujou plus tard avec mes oreilles”, a-t-elle lancé. Mais cette scène a quelque peu dépassé Ebony et Marguerite, qui n’avaient pas connaissance d’une des particularités de leur professeure.
Lucie Bernardoni (Star Academy) épate les élèves en évoquant un don
Le jeu entre Lucie Bernardoni et Charles a intrigué Marguerite et Ebony. Face à l’incompréhension des deux académiciennes, la répétitrice leur a alors expliqué ce qui amusait tant leur camarade. “En fait, il fait des accords au hasard au piano et comme j’entends tout, je peux décortiquer chaque note. Et ça, ça l’amuse beaucoup. Je suis son animal de foire”, a-t-elle déclaré. Sidérée par ce don, Marguerite a rebondi : “Mais tu entends ces trucs-là depuis toujours ? C’est trop stylé ! Moi, je n’entends même pas quand ma mère m’appelle…”