Engagée dans cette saison 20 de L’amour est dans le pré, Océane a encore un mal fou à se décider entre ses deux prétendants. Avant de les emmener à la ferme, la jeune femme a pu compter sur un très beau geste de Karine Le Marchand les concernant.
Entre Robin et Florian, son coeur balance. En emmenant ses deux prétendants sur son exploitation, Océane ne pensait pas que le choix final s’avérerait si difficile. Ni que la cohabitation à trois serait si compliquée. Les deux jeunes hommes ont en effet mis le paquet pour séduire la maraîchère, quitte à se tirer dans les pattes. Robin a immédiatement marqué des points en se montrant entreprenant avec la Bretonne de 33 ans, mais Florian, d’abord sur la réserve, rattrape progressivement son retard. De quoi faire hésiter l’agricultrice sur le profil idoine de son âme soeur, elle qui a déjà pu compter sur l’aide précieuse de Karine Le Marchand pendant les speed-datings.
“Elle m’a aidée”, comment Karine Le Marchand a pu aiguiller Océane pendant l’étape des speed-datings
Océane s’est épanchée dans les colonnes de Marie-Claire sur cette étape redoutée de l’aventure. Indécise, la benjamine de cette promotion 2025 a été accompagnée par l’animatrice vedette de M6 tout au long de son process de décision. “Elle m’a aidée à poser les bonnes questions, à me projeter dans la vraie vie. Je n’avais rien préparé à l’avance, alors elle m’a vraiment bien aiguillée. Grâce à elle, j’ai su poser des questions utiles, concrètes sur le quotidien comme ‘hop ce week-end, j’ai envie de sortir, on fait quoi ?’, ce genre de choses”, a-t-elle révélé. Ces précieuses indications ont permis à la candidate d’opter pour Robin, pétillant Breton de 27 ans et Florian, dont le coeur pur l’a séduit.
Océane très stressée par les caméras de L’amour est dans le pré
Cette séquence, non montrée à la télévision, révèle le caractère parfois douteux de la jeune femme. Dans un entretien qu’elle nous a accordé, Océane avait confié que le moment le plus délicat de son expérience avait été de trancher entre ses prétendants. “Le plus dur, je pense que c’est le moment du choix. Je ne l’ai pas forcément bien vécu à la fin. J’avais peur de blesser celui qui ne reste pas. Donc, ce n’était pas forcément un moment facile pour moi, je pleurais beaucoup”, a reconnu celle qui appréhendait également la présence de caméras.