Mercredi 20 novembre, au cours d’un live Instagram, Olivier Gayat a évoqué les difficultés qu’il rencontre avec le lancement de sa nouvelle entreprise.
Olivier Gayat est un manuel. Le père de neuf enfants, révélé dans le docu-réalité Familles nombreuses : la vie en XXL, est d’ailleurs à la tête de sa propre entreprise dans le bâtiment. Si son métier de peintre et son statut d’entrepreneur lui imposent déjà un rythme de vie particulièrement soutenu, le mari de Soukdavone ne rechigne pas à venir en aide à ses enfants, même si cela doit se faire après son travail ou sur ses jours de repos. Mais à son cinquantième anniversaire, le participant du programme de TF1 a décidé d’explorer de nouveaux horizons. Fini le bâtiment et la peinture, Olivier Gayat se lance dans les confiseries ! Malheureusement, tout ne se passe pas comme prévu.
Olivier Gayat (Familles nombreuses) explique pourquoi le lancement de son projet a pris du retard
En annonçant le lancement des “délices du BG” sur la Toile, Olivier Gayat a reçu de nombreux messages de soutien et d’encouragement de la part de ses abonnés. Galvanisé par l’engouement de ses fans, le père de famille leur a promis de leur dévoiler rapidement le logo de sa marque et éventuellement, ses premiers produits. Mais le peintre en bâtiment a rapidement fait face à la réalité. Mercredi 20 novembre, lors d’un live Instagram, le mari de Soukdavone a fait savoir à ses abonnés que le lancement de sa marque a pris du retard : “Olivia m’avait prévenu que ça ne se faisait pas comme ça… C’est pas si simple.” Avant de rassurer les potentiels futurs consommateurs : “Je sais que je vous fais attendre. Mais j’ai toujours ce projet de bonbons ! […] Je dois choisir les logos. […] Ça va venir doucement, mais sûrement.”
Olivier Gayat (Familles nombreuses) donne des détails sur sa future boutique
Visiblement, Olivier Gayat ne souhaite pas seulement lancer sa marque de bonbons, mais également ouvrir une boutique ! Dans son live du 20 novembre, le père de famille a donné quelques détails à ce sujet : “C’est officiel, je l’ai ouverte. Je dois mettre les meubles en place. Ce sera une boutique de bonbons dans le style des années 1970, 1980 voire, 1990.” Même si le père d’Olivia souhaite de tout cœur que sa confiserie rencontre un véritable succès, il n’est pour le moment pas prêt d’abandonner son métier actuel. “Si ça ne marche pas, j’ai toujours mon boulot derrière. Mais si ça marche, j’arrêterai le bâtiment. Je suis fatigué, je suis vieux, ça me saoule”, a-t-il avoué. Avant de conclure : “Les bonbons, ça prend du temps mais j’aurai moins mal au dos !”